Qui est-elle ?
Il y a quelques mois, je fus invitée à un bal organisé par la noble dame Catherina Paricho. Le
bal commençait dans exactement une demi-heure et je suis incapable de trouver une parure assortie
à ma robe violette. Quand j’eus enn trouvée je vis ,à travers la fenêtre dans ma chambre, une
calèche qui m’attendait. A peine arrivée je fus accueillie par dame Catherina et son mari Gabriel :
-Oh mademoiselle Lopez. Ravi de vous revoir. Déclara M.Paricho en me faisant un baise-main.
-Appelez-moi Ilaya. Répondis-je d’un sourire aimable.
-Suivez-moi, allons déposer vos affaires.
Je partie avec dame Catherina poser mes affaire. Nous passons devant une chambre d’amis, très
sombre, où l’on voyait rien appart une seule chose : un miroir. J’avais déjà vue plein de miroirs au
par avant mais jamais je m’étais attardée sur l’un d’eux. Celui ci était grand avec des moulures
dorées autour. Sans même m’en rendre compte, j’avançais doucement vers lui. Une sueur froide
m’envahissait et mes mains tremblaient quand j’eus entendu des murmures. Arrivée à quelques
mètres de lui je tendis ma main droite pour le touché mais une voix me sorti de cette illusion.
-Mademoiselle Ilaya ? Ce n’est pas ici que nous mettons les affaires.
-oui, désolée dame Catherina. M’excusais-je toujours tremblante.
Mon cavalier, un noble dont j’eus pas retenu le prénom, m’entraînait dans une valse tout en
me parlant de sa haute fortune. Moi, j’étais dans mes pensées, je repensais au miroir, à l’effet qu’il
m’avait fait. Ces murmures me faisaient encore froid dans le dos, j’essayais de déchiffrés ce qu’elles
disaient mais une voix m’en empêcha.
-Mademoiselle Lopez ? Vous m’écouter ?
-Oh, euh… excusez-moi. J’étais dans mes pensées. Pardonnez-moi mais il faut que j’aille prendre
l’air.
Je sortis si vite que le vent froid me s sursauter. Les murmures m’envahissaient, de plus en plus
fort, l’angoisse montait, je commençais à trembler, mon soufe diminua. Soudain une voix m’appela,
est-ce les murmures ? Cette voix était celle d’une femme, une femme que je connaissais j’en suis
sure.
-Mademoiselle Ilaya ? Vous allez bien ? S’inquiéta dame Catherina.
-oui, oui ça va, j’ai juste eu besoin de sortir un petit peu.
-d’accord si vous le dites. Si vous avez besoins de quoi que se soit vous savez où me trouver.
Déclara-elle en s’éloignant.
-Dame Catherina ! M’exclamais-je. Est-ce que, par hasard, quand nous étions devant la pièce au
miroir, avez vous entendu des murmures ?
-Non je ne crois pas. Êtes vous sûre que ça va ?
-je vous inquiétez pas, je vais bien. Merci.
J’attendis quelques minutes qu’elle soit bien partie et je pris mon courage à deux mains,
m’élançais dans les escaliers et sans me rendre compte j’étais déjà devant la porte. La pièce était
toujours aussi sombre, toujours aussi angoissante. Doucement je m’approchais, ma gorge était sèche
et mon ventre noué. D’un coup les murmures se t entendre. Toujours indéchiffrables. Je soufais
un bon coup puis tendis ma main pour touché le miroir qui me terrorisait. Il était froid, glacé même.
Les murmures s’intensiaient et une douleur atroce se rendit dans tous mon corps. Je criais de
douleur j’en étais sure mais je n’entendis pas, les voix étaient trop forte. La panique s’empara de moi
quand je vis dans le noir une silhouette qui s’approcha de moi, elle tendit ses mains et puis plus rien.
Quand j’ouvris les yeux une lumière blanche me brûla les rétines. Une fois habituée a la lumière, je
me relevais mais une fois debout, un mal de tête me s chavirer mais j’eus réussi de garder mon
équilibre.
La lumière blanche avait disparu et avait laissé place à une pièce sombre. C’était la chambre
d’amis, tout y était comme avant mais je ne vis pas le miroir. Je m’avançais pour le chercher mais
une barrière invisible m’en empêchais. Je tournais sur moi même et la lumière blanche revenait. Je
commençais a stresser, où étais-je ? Etaits-je dans le miroir ? Mais comment pourrais-je y être ? Je
décidais de faire le tour de cette pièce blanche. Il n’y avait rien, juste le petit passage ou l’on vit la
sombre chambre. Etais-je vraiment dans le miroir ? Je crois que oui, j’étais prisonnière du miroir.
J’étais affolée, comment allais-je sortir ? Moi qui voulais tant proter de ce bal, de danse avec de
charmants hommes, tous était tombé à l’eau. Je m’écroulais au seule, je pleurais toutes les larmes de
mon corps. Quand je ni par me ressaisir j’entendis un bruit inquiétant. Je ne savais pas d’où il
venait, de la pièce où j’étais ou dans la chambre ? Sans savoir pourquoi, je me retournais et vis la
silhouette. Elle était là, je n’avais pas revée. Je la voyais s’approcher. Non, non, non. Avec la
panique je courus vers la chambre mais je me souvenue que je ne pouvais pas passer. Je me trouvais
pour voir où elle était. Mais elle était là devant moi, à quelques centimètres de moi. Elle tendit ses
mains vers mon cou, chuchota quelque chose d’inaudible et commença à presser ses mains autour
de ma gorge. Elle m’étranglait. D’un coup je criais d’effrois. A force ma respiration s’arrêta et je
tombais dans les pomme.
J’étais sur quelque chose de mou, d’agréable. J’ouvris péniblement les yeux et la première
chose que je vis était dame Catherina.
-Vous êtes enn réveillée. Vous m’avez fait une telle frayeur.
-Que c’est-il passé ? Demandais-je déboussolée
-A vous de me le dire. Après avoir ni de parler avec vous dehors, je vous est vue aller à l’étage.
Mais après quelques heures vous n’êtes toujours pas descendu alors j’ai décidé de venir vous voir.
Mais je vous est retrouvé coucher devant le miroir, les yeux clos.
En me rappelant de ce qui c’était passé, je m’empressais de saisir mon cou, il me faisait mal. Je
n’avais pas de trace. Était-ce un rêve depuis le début ? Avais-je imaginé tous ça ?
-excusez moi mais il faut que je parte.
-mademoiselle Ilaya !!
Je pris mes affaire, je courus le plus vite possible. Il fallait que je sorte de cette demeure. Une fois
dehors le vent froid me s énormément du bien. Le sourire revenait sur mes lèvre jusqu’aux
moments ou j’étais assise dans ma calèche. Je vis à travers la fenêtre la silhouette. Mais o,était trop
tard j’étais déjà en route vers chez moi.