Ma plus grande peur
Cette histoire est vraie.
J’étais sur le chemin pour rentrer chez moi avec une amie de l’époque ,
Agathe et arriver sur le pont aux niveaux des escaliers, une autre amie nous
appellent et nous dis qu’elle va nous rejoindre pour finir le chemin. On
l’attend dans les escaliers. Au bout de 5 minutes à parler mon amie me
demande de tenir son pot de plante que l’on avait récupéré de l’SVT car elle veut monter et descendre
les escaliers. Comme je menace de faire tomber son pot elle me filme. Elle descend et au moment de
remonter, se rend compte qu’un homme d’environ 50 ans nous observer dans notre dos. Elle l’interpelle
et lui demande si tout va bien. L’homme se présente comme une personne perdu, sans papier, sans
téléphone sans rien , et disant qu’il pense habiter à Lille sans plus de détail. Agathe ayant une peur bleu
des gens bizzare flaire quelque chose d’anormal. Moi, et je sais c’était bête, je ne me pose pas plus de
question et je cherche à l’aider. Je lui demande si il veut que j’appelle mes parents Il refuse toutes
mes propositions et veut que l’on aille à Lille avec lui pour l’aider. A ce moment , je ne suis pas bête à
ce point, je sens que quelque chose est louche. Avec Agathe nous interpellons les gens dehors et le
premier ne nous a pas aider. Mais la 2eme personne est venu et a fait partir le monsieur. Ensuite nous
avons pu partir, sans être plus choquer que ça. Mais c’est plus tard que ça va se corser. La semaine
suivante, cette fois nous allons au collège. Nous montons les mêmes escalier et en dessous de celui ci, il y
a un petit chemin. De ce petit raccourci, un homme sort et en nous voyant met sa capuche et se met à
trottiner . Nous reconnaissons l’homme louche de la dernière fois. Nous courrons
sans nous arrêter. Heureusement, en bas du pont, le feu est passer au rouge
juste après que nous sommes passer. Nous avons réussi a rentrer au collège,
en pleur, incapable de dire la moindre phrase. Dans les mois qui suivent je
ne dormais plus la nuit et je ne pouvais plus refaire le chemin toute
seule. Il faut s’imaginer que j’étais en 6eme. Finalement, tout se finit
bien. Cet homme ne nous courrait pas après. Avec ma mère, nous
sommes passer en fin 5eme et remarqué que cet individu courrait sur
le pont même si il n’y avait personne. N’empêche que même
maintenant, j’ai des difficultés à m’endormir sans un minimum de
lumières , je fais plus de cauchemars, je prends toujours ma trottinette
au cas ou un tel scénario se reproduise que je puissent partir plus vite
et je change de trottoir à chaque personne qui me paraît suspecte. Je
suis peut être dans l’excès mais je vous jure qu’une telle angoisse vous
reste dans le crâne à vie!